En cercles de feu protéger des tigres un espace appelé à grandir, sans autres limites que celles posées sous le sceau de la bienveillance.
Car ce que vous me demandez, je ne pourrai toujours l’offrir, et sans véritable consentement, que vaudrait l’offrande?
Ces limites-là, les garder jalousement, les chérir, jusqu’au jour où l’arbuste aura tellement grandi que les tigres pourront venir se reposer à l’ombre de ses branches.
Oui, ce jour-là, nous saurons rire avec les tigres et partager leur territoire.