Comme un pli dans la terre, où s’amasse l’énergie avant de se détendre violemment.
La vie se déploie dans ces failles, se ramifie, s’accroche.
Tu prends un bâton, puis un autre : ils ne cassent pas.
L’enfant vient, les frotte l’un contre l’autre. Ils s’enflamment.
L’oiseau qui cherchait sa pitance au bord de l’eau s’envole, tourne autour du soleil et disparaît.
Hello Robert
Quelle belles poésies reçues de ta part aujourd’hui !!
Merci pour ce petit rayon de soleil
Lisa
Je vois plus la mort dans les entrailles de la terre. Lieu de vie du cheval noir fils de la nuit et du mystère par la voie symbolique, cimetières du temps, mystérieuse comme la mort. Mais il est vrai qu’une chose n’existe pas sans son contraire et s’il y a la mort c parce qu’il y a, au moins sur elles, la vie.