Poésie des mondes superposés comme une pâte feuilletée, cuisant dans la tiédeur de nos villes souterraines.
Ici fermente la mémoire des labyrinthes.
Au métro Denfert, quand cesse le fracas des trains, on entend les sons d’une harpe. Elle nous plonge dans un monde profondément enfoui, tissé de légendes et de mythes que l’on se racontait, le soir, dans une autre enfance, et puis une autre, et tant d’autres encore, jusqu’à se perdre dans le son (violet).