Les outils du dessin. Pour commencer, le trait suffit. Poser du noir, accentuer les contrastes. Une forme naît, puis le regard s’éveille, la critique intervient. Le plaisir n’est pas toujours là. Persévérer, dit Marion. Se défaire des automatismes, oublier, voir. Un jour, on se surprend. Des « ptits croqs » de novembre à ceux d’avril, une longue saison s’étire, un commencement d’apprentissage. Apprivoiser le corps, la lenteur. Dessiner, c’est d’abord écouter avec les yeux. Se mettre à l’école de la bienveillance. Aimer.
« Et les soirs au balcon, voilés de vapeurs roses »
« Oh, ne les faites pas lever! »
(ceux qui mettent de la poésie dans les discours)
« Parce que vous avez certainement manqué un épisode »
« C’est bien peu de choses, finalement, les relations humaines »
(Un Goncourt sinon rien)
Grand week-end, petits croquis
Douce poésie dans ces jolis croquis,
Je ne m’y connais pas dans cet art mais peut en apprecier la simplicité du beau sublimé par cet accompagnement en mot
Bonsoir Robert,
L’auto critique, satanée voix intérieure ! Est-ce du perfectionnisme ? Est-ce bien sa propre voix …. ? Ou le temps qu’o ne se donne pas … Persévérer oui et sans s’épuiser
Tes dessins plus anciens donnent déjà la logique de ton évolution.
Bonne soirée
Bises
Christine